C’est une dernière volonté souhaitée par bon nombre de français qui ne s’envisagent pas enfermés dans un cercueil six pieds sous terre durant l’éternité qu’il leur restera à passer sur la planète. C’est aussi un choix des familles, quelquefois parce que leur proche décédé en avait parlé de son vivant sans pour autant laisser des écrits.
En 2016, c’est aussi devenu un choix financier car une crémation avec dispersion des cendres occasionne un coût beaucoup moindre qu’une inhumation en terre avec achat de concession et fabrication du caveau.
Revue globale d’une pratique funéraire qui tend à se démocratiser un peu plus chaque année.