En 1965, Henri Salvador chantait « le travail c’est la santé ».
Un demi-siècle plus tard, la préoccupation principale des entreprises, au-delà du chiffre d’affaire annuel à réaliser, est d’endiguer l’arrêt maladie et de prévenir les accidents du travail, véritable fléau contre-productif !
En 2016, on peut désormais parler de la nocivité du travail. Est-ce que l’abus de travail ne nuirait pas à cette fameuse santé ?
En plus des métiers qui rentrent habituellement dans la catégorie désignée comme « à risques » car considérés comme dangereux, de plus en plus d’études se penchent sur la pénibilité au travail et spécifiquement sur la souffrance psychique observée au sein des entreprises.